L'Eglise Saint Pierre et Les Croix de la commune


L’EGLISE SAINT PIERRE DE GOUTTIERES

Tous droits réservés © commune de Gouttières63
Crédit photos : Claude Palluau, photographe au Smad des Combrailles
avec tous nos remerciements et Sébastien Richardot, Adjoint commune de Gouttières.
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Pourquoi un coq sur le clocher ?
Le coq est universellement un symbole solaire parce que son chant annonce le lever du soleil, l’arrivée du jour si bien qu’on a pu croire que c’était lui qui le faisait naître.
Pour les chrétiens, le coq est l’emblème du Christ (« oiseau de lumière » que l’on retrouve dans la forme donnée aux lampes des potiers chrétiens de Grèce et de Rome et oiseau de résurrection) et symbole de l’intelligence venue de Dieu. On lui prête le pouvoir de chasser les démons.
Au Moyen Âge, le coq symbolise le prédicateur qui doit réveiller ceux qui sont endormis.
 L’église de GOUTTIERES est de souche romane très modifiée ultérieurement. Elle fut comprise en 1165 dans une bulle parmi les dépendances de l’abbaye de Menat. C’est un monument très ancien modifiée par l’adjonction de deux chapelles. Le clocher date de 1861. Il est octogonal. A mi-hauteur de la flèche étaient sur chacune des quatre faces "des espèces de lucarnes assez disgracieuses" comme le décrivaient Tardieu et Madebène dans leur livre sur le canton de Saint Gervais jusqu’en 1970 date de réfection de la toiture suite à un orage(photo ci-dessous). En fait les habitants ne trouvaient pas ces lucarnes disgracieuses mais suite à cet orage et par soucis d’économie, elles ne furent pas reconstruites.
Jusqu’en 1873 le cimetière se trouvait autour de l’église
En 1784, la visite pastorale réalisée, décrit un plan rectangulaire sans chapelle et précise que le maître autel doit être refait à neuf.
C’est le seigneur des lieux, Monsieur Mayet de La Vilatelle à qui appartient l’église, qui a du financer sa restauration.
Avant 1888 l’église était couverte avec des tuiles creuses.

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La croix qui se trouve sur le faîtage de l’église pourrait avoir été une croix se trouvant dans le cimetière lorsqu’il se situait autour de l’édifice.

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Sainte Vierge protectrice au dessus de l’entrée Sud de l’église. En 2018 elle a été rénovée par un élu et à retrouvée sa couleur d'origine.

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A sa construction elle était constituée d’une nef et d’un clocher à peigne comme on en voit encore à Saint-Maigner, Lisseuil, La Crouzille. La chapelle de droite dédiée à la Sainte-Vierge est beaucoup plus ancienne que celle de gauche dédiée au sacré coeur qui fut construite en 1889. Dans la chapelle sud située à droite existent deux dalles en pierre, côte à côte renfermant des tombeaux. Sur celle de gauche est inscrit "Marie NOYEL veuve JOURDE 1838". Elle était la mère du curé JOURDE (curé de la paroisse de 1830 à 1871). Sur celle de droite est inscrit "Joanès GUYOT 20 mai 1830", qui fût curé de 1814 à 1830.Selon Pierre Ganne, archéologue du SMAD, ce sont des tombes de rappel, aucun corps n’ayant été inhumé dans l’église.
La chapelle sud qui était la chapelle des femmes appartenait à la famille Bottes qui avait mis le mobilier à disposition.
La chapelle nord appartenait à Me Anglard notaire de Pontaumur et était destinée aux hommes. On louait ses places dans l’église et la place qu’occupait les paroissiens démontrait leur importance sociale. Les hommes qui n’avaient pas reçu tous les sacrements occupaient plutôt les places du fond.
En 1793 lors de la période révolutionnaire, les cloches de l’église très anciennes furent enterrées et sauvées de la destruction par M.GIDEL paroissien domicilié au hameau des "Verts". Les patrons de la commune sont Saint PIERRE et Saint EUTHROPE.

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Saint Pierre, prince des Apôtres est représenté ci dessus avec un coq* à ses pieds, ce qui est rare ! Saint Pierre possède deux clés : l’une en or, céleste, l’autre en argent, terrestre. Il a ainsi la capacité d’ouvrir et de fermer les portes du Paradis.
Le coq est aussi le symbole du reniement de saint Pierre (il est un attribut récurrent du saint) qui, selon l’Évangile, aurait renié Jésus trois fois avant que le coq chante deux fois. Par la suite, chaque chant du coq rappelle au saint sa trahison. Le coq, témoin de la trahison de Pierre, serait placé sur les clochers pour rappeler aux hommes leur faiblesse. Comme le Christ, il annonce l’arrivée du jour après la nuit, c’est-à-dire, symboliquement, celle du bien après le mal. Le coq-girouette du clocher, toujours face au vent, symboliserait ainsi le Christ rédempteur qui protège le chrétien des péchés et dangers. Toujours est-il que la tradition du coq de clocher est attestée au IXe siècle, puisque le plus ancien coq de clocher connu, qui se trouve à Brescia, en Italie, date de 820, et qu’une bulle pontificale du Xe siècle aurait imposé le coq sur les clochers en souvenir de saint Pierre

Saint Eutrope*

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Saint Eutrope fut le premier évêque de Saintes. Il a sans doute vécu vers le IIIe siècle ou IVe siècle de l’ère chrétienne. On sait très peu de choses de lui ; même la date de son épiscopat est incertaine. Sa vie fut confiée à la tradition orale et l’imagination des conteurs en fit peu à peu une légende vivante. Il est représenté avec une crosse épiscopale et sa mitre d’évêque.
L’église possède une statue de la vierge à l’enfant (bois peint du 17éme siècle).null

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Sainte Zite* dans la chapelle du sacré Coeur (Nord)

*Sainte Zita, ou sainte Zite, née dans le village de Bozzanello, près de Lucques, en Toscane, vers 1218 et morte le 27 avril 1278 à Lucques, est une sainte catholique patronne des gens de maison, domestiques et servantes. Elle est aussi invoquée pour retrouver les clés perdues.

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"Chapelle construite et ornée par Gilberte Nény de Regheat 1889"


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Un Saint Jean Evangeliste avec une ancre* de marine dans la main droite ?
*L’ancre, symbolise l’espérance et le salut des membres de ’Eglise qui croient en Jésus.

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Jean-Marie Baptiste Vianney, dit le Curé d’Ars ou le saint Curé d’Ars, est né le 8 mai 1786 à Dardilly, près de Lyon, et mort le 4 août 1859 à Ars-sur-Formans. Il fut curé de la paroisse d’Ars (alors Ars-en-Dombes, aujourd’hui Ars-sur-Formans) pendant 41 ans.
Il est nommé patron de tous les curés de l’Univers par le pape Pie XI en 1929.


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En 1823 l’église accueillit une grande toile peinte par J.B. Collet.

 


"l’adoration des mages"*.

*L’Adoration des mages est l’épisode de la vie de Jésus qui s’inscrit juste pendant la Nativité, un des thèmes de l’iconographie chrétienne. Il montre Jésus enfant qui vient de naître, entouré de sa mère Marie, de son père Joseph, souvent en retrait. Les rois mages, que l’on peut reconnaître à leur âge respectif, sont accompagnés de leur cortège et c’est aussi le prétexte à exposer les personnages importants et influents du temps de la réalisation de l’œuvre peinte.

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Jean-Baptiste Collet voit le jour au faubourg Saint-Antoine à Paris, dans une famille qui comptait au moins trois générations d’ébénistes, parents ou alliés très proches d’artisans de grand renom comme Joubert, Migeon ou Cramer. Tous ou presque, étaient protestants. Le jeune homme rompt avec la tradition familiale en se tournant vers la peinture. En 1780, il est élève à l’Académie royale et est également formé par Jean Bardin (1732-1809) puis, à partir de 1786, par Jacques-Louis David (1748-1825).
En 1803, il quitte Paris avec sa famille pour s’installer durablement à Clermont-Ferrand. Il y peindra des paysages, beaucoup de portraits et des tableaux d’église qui sont conservés dans plusieurs églises du Puy-de-Dôme. Collet séjourne encore en Auvergne au cours des années 1820. En 1822, il participe au Salon du Louvre en compagnie de son fils Jacques-Claude Collet. Le père présente quatre œuvres dont deux grands paysages. À une date inconnue, Jean-Baptiste Collet quitte l’Auvergne et revient à Paris. Il y meurt le 10 mai 1843.
Jean-Baptiste Collet a une place est notable dans la production artistique en Auvergne pendant le premier quart du XIXe siècle. Sa formation classique et son passage dans l’atelier de David en font un artiste significatif de son époque ayant bien assimilé l’esthétique néoclassique. Fruit d’une réflexion pertinente, la composition de ses tableaux d’histoire (tableaux d’églises) est souvent très habile. Le soin des détails montre un savoir-faire certain.
Peintures
L’Enlèvement de Proserpine, Clermont-Ferrand, musée d’art Roger-Quilliot

 Repas chez Simon, 1808, Saint-Amant-Roche-Savine

 Transfiguration, 1811, Plauzat, église Saint-Pierre

 Saint Amable, 1812, Chaméane, église Saint-Pierre

 Adoration des mages, 1823, Gouttières


Source : Wikipédia


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LA NEF

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LA CHAIRE*
*Architecturalement, une église est une grande salle qui peut recevoir un public nombreux, massé dans la nef (la partie longue de l’église). La chaire est un point d’où on peut s’adresser à ce public, à une époque où le microphone n’existait pas. Elle se trouve généralement au milieu de la nef, le long d’un mur ou contre un pilier, pour que le prédicateur puisse être entendu par le plus de monde possible.
Traditionnellement, elle est « du côté de l’évangile » (donc à gauche pour l’observateur, côté nord si l’église est orientée) dans les églises normales. En revanche, dans les cathédrales, sa position normale est à l’opposé du trône pontifical, donc à droite (sud de la nef). Dans les églises à jubé, celui-ci tenait primitivement le rôle de la chaire, donc celles qui s’y trouvent ont été rajoutées par la suite.
La chaire est constituée de la cuve qui constitue la place du prédicateur, et parfois d’un dossier qui à l’arrière relie la cuve à la partie supérieure appelée abat-voix.


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Elle est dotée de quelques vitraux intéressants du 19éme siècle réalisés par LAGAYE* seul maître vitrailliste de Condat en Combraille.

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*Charles Henri Hippolyte de Lagaye de Lanteuil (1834-1915), seul maître verrier établi en Combrailles. Vitraux intéressants à Condat en Combraille, Tralaigues et Landogne. Il a épousé Anne Girard fille de Jean Baptiste Vialette dont l’arrière grand père était notaire à Gouttières.

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Vitraux de notre église

Les plus anciens sont l’oeuvre de Lagaye et les plus modernes et récents ont été réalisés par François Torreilles maître verrier établi à Clermont. Il était marié avec Marie Senectaire originaire des Combrailles et également maître vitrailliste.
Les donateurs des vitraux sont pour la plupart des familles de notables de la commune.
Louis Bottes était donateur du vitrail du sacré coeur de la vierge et était le père de Michel Bottes futur maire.

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Bannière de procession représentant Saint Pierre : Utilisée pour se rendre en procession à la fontaine Saint Pierre.

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Ce blason représentant deux croix : une en or et une retournée en argent comme sait Pierre avec ses deux clés, était probablement le blason utilisé par l’abbé Grange pour représenter sa paroisse.

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Sainte Gilberte

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Vitrail représentant le Christ au dessus du Choeur

nullLe vitrail du clocher


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L’agneau de Dieu symbole du christ
Don du Père Béraud curé emblèmatique de la paroisse en 1889


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Un couvercle en bois pour le bénitier a été réalisé et offert à la paroisse le 11 août 2014 par Serge GRAND, éminent tourneur des Bouchauds. Réalisé en tilleul, il possède en son centre un cercle en noyer où est inscrite une croix en amarante bois précieux de couleur violette originaire d’Amérique du Sud.

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Une estrade abîmée par le temps a également été restaurée par un jeune charpentier qui vient de s’installer dans la commune : Stéphane Roussel. Celle ci possède en son centre une magnifique étoile en marqueterie. L’estrade en chêne a pris place dans la chapelle sud.

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L’horloge électrique actuelle ainsi que l’automatisation de la sonnerie des cloches ont été mises en service le 28 octobre 1966 par la société spécialisée Bodet de Trémentines (49) qui assure encore la maintenance.

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Il existe quelques pierres tombales dans l’église !

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LE MONUMENT AUX MORTS


Le 1er septembre 1919, le maire M. François PICANDET traîte de gré à gré avec M. CLERMONT architecte à Paris pour l’édification d’un monument aux morts en pierre de Villebois, sur la base de 8500F comprenant l’inscription des noms et prénoms des soldats. Le transport de la gare jusqu’au chantier fut à la charge de la commune. Moyennant de légères modifications n’entraînant pas de surcoût, le projet est accepté par le Conseil Municipal le 14 septembre et en préfecture le 19 mars 1920. Le 18 octobre 1921, le maire avec l’accord de son conseil traite de gré à gré avec M. Sauty Gillet, serrurier à Saint Gervais pour la pose d’une grille autour du monument.La dépense engagée est de 1600 F. La réception des travaux s’est faîte le 8 janvier 1922 par le maire et l’entrepreneur en présence de MM. Brunier Pierre et Lardy Jules conseillers municipaux. Le 1er novembre 1926, le Conseil Municipal, lors d’une délibération décide de compléter le monument aux morts par la pose en son sommet d’un poilu en pierre de Volvic et mandate son maire pour conduire les opérations. Le 12 janvier 1927, M. Picandet, maire traite de gré à gré avec M. Buisson entrepreneur à Volvic sur la base de 6500F. ________________________________________________________


LES CROIX DE LA COMMUNE


Inventaire réalisé en janvier 2000 par Robert FOUSSAT, habitant de la commune. Les croix de notre commune souvent très simples sont encore porteuses, pour qui sait se souvenir de bien des témoignages de l’environnement religieux dans lequel baignait la population autour du curé de la paroisse. Nous trouvons des croix traditionnelles, soit plantées là pour délimiter des territoires de dîmes ou marquer des limites de seigneurie. Il y a des croix en l’honneur des "Saints". Il y a des croix de mission, parfois établies avec quelque apparat. Il y a les croix de dévotion en particulier celles construites sous la "Restauration", époque de militantisme catholique. Autour des croix s’organisaient autrefois diverses manifestations religieuses. Nombreux également étaient les croyants qui passant devant ces édifices, à l’image du curé faisaient le signe de croix. Qui se souvient des processions de la "Fête Dieu", de l’Assomption.... Qui se souvient même de la classique procession à la fontaine Saint Pierre un des deux patrons de la paroisse. Beaucoup de nos croix ont subi au cours des années les outrages du temps, d’autres ont disparu. Telle la "croix au fers" à la limite des communes de goutières et du Quartier entre les hameaux du Reverdel et de Barrot. Il est heureux que, grâce à l’initiative de la municipalité, la restauration de ce petit patrimoine ait pu avoir lieu. En faisant ce petit recensement, Robert FOUSSAT n’a eu d’autres ambitions que de contribuer, très modestement à cette sauvegarde. _____________________________________________________________

Croix de la Place de l’Eglise

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Construite et mise en place par M. ROUDIER en 1841, elle était située à l’origine à l’intérieur du cimetière entourant l’église. Le cimetière a été supprimé par arrêté préfectoral du 22 avril 1850 et établi à cette date à son emplacement actuel sur un terrain clos, acheté par Joseph BOUDAUD, maire et plusieurs notables à Michel ROUGIER et Marie DUREL son épouse, de Regheat (acte de vente du 3 décembre 1849, valeur 800 francs). Donation de ce terrain faîte ensuite à la commune (acte notarié du 24 décembre 1849) par J. BOUDAUD. L’arrêt préfectoral du 22 avril 1850 stipule également dans son article 3 que "le cimetière supprimé restera clos pendant 5 ans ne pouvant dans cet espace de temps être livré à aucun usage". La croix a été repeinte en 2018 en m^me temps qu eles grilles du monument aux morts.

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Croix de Saint Pierre


Route de Regheat, à gauche avant la mairie.

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Près de la fontaine du même nom. Une des plus ancienne croix de notre commune dédiée à Saint Pierre, un des deux patrons de Gouttières. C’est une croix en pierre à double face, l’une représentant le Christ en croix, l’autre vraisemblablement Saint Pierre. Sur le socle un date apparaît : 1706 et un nom : Jean Thomas. Au sommet est inscrit "INRI" : Jésus de Nazareth Roi des Juifs.

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Installée actuellement sur le petit édifice recouvrant la fontaine de construction très récente. Cet emplacement laisse à penser qu’à l’origine cette croix devait être placée et orientée de façon différente.


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Croix de Mission 1922

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Croix fabriquée par Blaise CHOMARD du hameau du Mazet à l’occasion de la mission 1922. Déplacée de son lieu d’origine est actuellement au croisement de la route du Mazet et du chemin de Montagard au cimetière. 


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Croix située à l’intersection de la route du Cimetière et du chemin de Font-Tourte

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Socle en pierre de taille sans inscription ni date. On y allait en procession le jour de l’assomption. La mise en place devait dater de la seconde partie du 19e siècle entre 1850 et 1900. Rénovation en 2014 par un élu municipal.

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Croix du Chemin de Montagard

En direction de la Chapelle du même nom, à la sortie de gouttières en direction d’Espinasse.

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Belle croix en fer forgé à mi-chemin de la côte de Montagard. Aux dires des anciens cette croix ornait l’église avant l’édification du clocher actuel (1861) et la mise en place de la girouette au coq qui le surmonte aujourd’hui. On y allait autrefois en procession.


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Croix de Saint Euthrope


Près de la fontaine Saint Euthrope à l’embranchement de la route de Saint Julien et d’Espinasse et du chemin communal des Planchettes.

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Certainement croix de dévotion. Pas d’inscription, ni de date. Socle ancien en pierre de taille, croix en bois restaurée par un élu municipal en 2014. Origine possible seconde partie du 19e siècle.

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Croix des Joncs

en direction du village du même nom, à gauche en montant avant la mairie.

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Croix en bois sur un beau soubassement en pierre ne comportant ni date, ni inscription. Restauration réalisée en 1998. Il s’agit là sans aucun doute d’une croix de dévotion dont la réalisation pourrait dater de la période de la restauration. (1815-1830)

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Croix des Planchettes

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Croix de mission. 1900


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Croix des Sapins

Route de Saint Julien

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A l’origine croix privée fabriquée par Marius Boudaud du Mazet (mission 1922). Détruite, elle a été remplacé par la croix actuelle. Croix en fonte, socle en pierre de récupération.

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Croix des quatre chemins

près de Montagard

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Don de Fernand VERNET en remplacement de la croix d’origine disparue.


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Croix de Regheat

au centre du village du même nom.

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Sans inscription ni date. C’est une simple croix de bois sur un socle de pierre.


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Croix de Courtine

Au croisement des chemins de la Besse et Gouttières à Saint Gervais.

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Simple croix de bois sans date ni inscription. Montée sur un bloc de pierre brute grossièrement taillée et plantée en terre.


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Croix du Cimetière

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Grande croix en fer forgé au centre du cimetière. Sans inscription ni date, on peut néanmoins estimer sa construction dans les années 1860. Au pied de ce calvaire, la tombe du curé Jourde ancien prêtre de la paroisse, mort en 1871,inhumé en ce lieu et très estimé de ses paroissiens.

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Croix du Presbytère

fut au presbytère il y a quelques années à l’entrée de Gouttières au village du Cheix. A été déplacée au cimetière.

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Croix en fonte représentant le Christ en croix et Saint Michel. Pas d’inscription. Ce presbytère semble avoir été occupé par les curés de la commune depuis avant la révolution. Nous avons en main copie d’une lettre au préfet en date du 30 Thermidor au 13 écrite par Pierre Pracros desservant la succursale de Gouttières se plaignant à l’autorité préfectorale du mauvais état de son logement.


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Croix de la maison Picandet Aux quatre routes

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Croix privée mise en place durant la période où cette maison était la propriété du Diocèse de Clermont.

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Croix du hameau de La Peize

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Belle croix en fer forgé sans inscription. Restaurée et installée à son emplacement actuel en 1985 grâce au don de Mme Astier née Cluzel du hameau de La Peize.


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Croix du Moulin de Pierrefort

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Jolie croix en fer forgé. Don fait par la famille Verneret de La Peize. 1887 _____________________________________________________________

Les Croix du hameau des Verts

Croix privées ou croix de dévotion

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Croix en bois réalisée par la famille Sauret.

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Croix en béton de la famille Basset Marcel.

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Socle en pierre brute, la croix en bois a disparu ; sur la pierre on peut lire : "don de Gervais Basset 1865"


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Croix du hameau du Fraisse

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La croix de gauche est une croix de mission de 1966 à l’angle du chemin en provenance du Pont du Fraisse et de la route du Fraisse à la Gare. La croix de droite est située au Pont du Fraisse. Sans date ni inscription.

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Cette croix est située près de la propriété Cromarias. Sans date ni inscription. Ces dernières croix seraient des croix de dévotion.